Certaines pratiques sont déjà encadrées avec des diplômes, mais pour le reste, un rapport soumis au premier ministre suggère de créer un label.

L’ostéopathie, une pratique très appréciée

Mon médecin traitant m’a guidé vers un ostéopathe car il n’arrivait pas à soigner ma douleur.

Manipuler, faire craquer, étirer, les articulations, les tendons, ou les ligaments, ou les muscles, les ostéopathes ne se substituent pas aux médecins mais travaillent avec eux.

D’autres pratiques en marge de la médecine traditionnelle se développent, par exemple l’aromathérapie, l’hypnose, l’acupuncture, l’homéopathie, ou encore la chiropractie.

Pour ces spécialités de médecines douces, il n’existe au mieux que des formations validées par l’état, et elles ne sont pas obligatoires, du coup n’importe qui peut décider d’apposer une plaque et ouvrir son cabinet. Il devient donc difficile de s’y retrouver d’autant que ces médecines alternatives ou non conventionnelles déjà séduit, selon l’OMS, 75 % des Français.

C’est donc pour aider les patients à y voir plus clair que le Centre d’Analyse Stratégique préconise d’utiliser un label. pour cela il s’agirait de s’inspirer du modèle allemand avec un examen testant les connaissances médicales et juridiques des praticiens.

En Allemagne le taux d’échec peut atteindre 90 %, c’est une garantie que nous considérons comme tout à fait sérieuse.

La préconisation prévoit aussi de rembourser les spécialités les plus efficaces, un bon geste vu l’état de santé de la sécurité sociale.

Frédéric

Mon expertise en assurance, ainsi que mon intérêt pour le big data, me permettent d'analyser les tendances et les réglementations avec précision, en offrant une vision unique à mes lecteurs.